François Stifani dans un lettre en date
du 02 novembre 2011 s’adresse aux Grands Maître Provinciaux et s’exprime
sur les récents cas de refus par certaines loges de l’obédience
d’admettre les Officiers Provinciaux en leurs qualités et déclare que
« faire obstruction à un Grand Officier Provincial, c’est faire obstruction à la G.L.N.F« .
Par la suite, il annonce une prochaine réunion du Collège des Vénérables Maîtres afin d’éclaircir le trouble existant…
Le Grand Maître A Messieurs les Grands Maîtres Provinciaux
Paris, le 2 novembre 2011
Paris, le 2 novembre 2011
Très Chers et Bien Aimés Frères,
Dans le prolongement de notre réunion du 27 octobre dans notre
siège de Pisan, je souhaiterais reprendre certains points qui me
paraissent fondamentaux.
Admission des Grands Officiers Provinciaux en leurs qualités dans les Loges :
On a constaté encore quelques Loges dont les Vénérables Maîtres refusent d’admettre les Officiers Provinciaux en leurs qualités . Cette situation, intolérable et inconcevable au sein de la G.L.N.F. relève de mots d’ordre d’opposition inspirés d’Obédiences irrégulières ou d’organisation non-maçonniques.
Chaque Loge bénéficie d’une Charte, octroyée par la G.L.N.F. en la personne du Grand Maître, confiée au Vénérable élu qui en est le gardien par délégation pendant la durée de son mandat. De la même manière, les Officiers Provinciaux représentent le Grand Maître Provincial, lui-même représentant le Grand Maître par délégation. L’ensemble formant une unité indivisible
Ainsi, faire obstruction à un Grand Officier Provincial, c’est faire obstruction à la G.L.N.F. toute entière et ne peut avoir qu’une conséquence unique : le retrait de la Charte et la suspension de la Loge. Cette mesure devra être appliquée si le Vénérable Maître, visiblement défaillant dans le respect des institutions de notre Obédience, persiste dans son attitude après un ultime rappel à l’ordre
De la même manière, face à la désinformation constante propagée par nos opposants, il apparaît encore nécessaire de prévenir nos Frères contre les sollicitations, démarches et manœuvres qui visent à les faire adhérer à l’association nommée « U.L.R.F. », dont la finalité unique est le détournement des Frères de la G.L.N.F. au profit de la création dune nouvelle Obédience, après avoir tenté de dépecer notre Grande Loge.
Nos Statuts et Règlements, Us et Coutumes ne prévoient pas l’appartenance à d’autres structures maçonniques qui n’auraient pas reçu l’approbation de la G.L.N.F. Tout Frère s’interdit de participer à des réunions, Tenues ou Travaux non ouverts au public, d’une association maçonnique non reconnue comme telle par la G.L.N.F. (Obligations du Franc-maçon page 5,§ 11). Ceci s’applique donc à l’«U.L.R.F. »
On a constaté encore quelques Loges dont les Vénérables Maîtres refusent d’admettre les Officiers Provinciaux en leurs qualités . Cette situation, intolérable et inconcevable au sein de la G.L.N.F. relève de mots d’ordre d’opposition inspirés d’Obédiences irrégulières ou d’organisation non-maçonniques.
Chaque Loge bénéficie d’une Charte, octroyée par la G.L.N.F. en la personne du Grand Maître, confiée au Vénérable élu qui en est le gardien par délégation pendant la durée de son mandat. De la même manière, les Officiers Provinciaux représentent le Grand Maître Provincial, lui-même représentant le Grand Maître par délégation. L’ensemble formant une unité indivisible
Ainsi, faire obstruction à un Grand Officier Provincial, c’est faire obstruction à la G.L.N.F. toute entière et ne peut avoir qu’une conséquence unique : le retrait de la Charte et la suspension de la Loge. Cette mesure devra être appliquée si le Vénérable Maître, visiblement défaillant dans le respect des institutions de notre Obédience, persiste dans son attitude après un ultime rappel à l’ordre
De la même manière, face à la désinformation constante propagée par nos opposants, il apparaît encore nécessaire de prévenir nos Frères contre les sollicitations, démarches et manœuvres qui visent à les faire adhérer à l’association nommée « U.L.R.F. », dont la finalité unique est le détournement des Frères de la G.L.N.F. au profit de la création dune nouvelle Obédience, après avoir tenté de dépecer notre Grande Loge.
Nos Statuts et Règlements, Us et Coutumes ne prévoient pas l’appartenance à d’autres structures maçonniques qui n’auraient pas reçu l’approbation de la G.L.N.F. Tout Frère s’interdit de participer à des réunions, Tenues ou Travaux non ouverts au public, d’une association maçonnique non reconnue comme telle par la G.L.N.F. (Obligations du Franc-maçon page 5,§ 11). Ceci s’applique donc à l’«U.L.R.F. »
Le Travail des Ateliers :
Dans cette période troublée, il est plus que jamais nécessaire de rappeler que le travail des Loges consiste à initier des candidats, passer et élever des Frères et à assurer leur formation spirituelle. L’apport de nouvelles pierres à notre édifice maçonnique commun est nécessaire au dynamisme et au mouvement perpétuel, principe même de la vie spirituelle. Toutefois, ces nouvelles pierres doivent être choisies avec discernement afin quelles s’insèrent harmonieusement dans notre Grande Loge. La colonne du Nord est le signe visible de la vitalité d’une Loge et la promesse de sa pérennité. L’instruction des apprentis et des Compagnons doit être l’objet d’une attention particulière ; comme dans le monde profane, l’éducation constitue la garantie principale de la qualité des travaux de la Loge.
Dans cette période troublée, il est plus que jamais nécessaire de rappeler que le travail des Loges consiste à initier des candidats, passer et élever des Frères et à assurer leur formation spirituelle. L’apport de nouvelles pierres à notre édifice maçonnique commun est nécessaire au dynamisme et au mouvement perpétuel, principe même de la vie spirituelle. Toutefois, ces nouvelles pierres doivent être choisies avec discernement afin quelles s’insèrent harmonieusement dans notre Grande Loge. La colonne du Nord est le signe visible de la vitalité d’une Loge et la promesse de sa pérennité. L’instruction des apprentis et des Compagnons doit être l’objet d’une attention particulière ; comme dans le monde profane, l’éducation constitue la garantie principale de la qualité des travaux de la Loge.
Réunion du Collège des Vénérables Maîtres :
L’exigence de rigueur et d’exemplarité (après ce qui précède, je vous laisse seuls juges, en rappelant toutefois la mise en examen du GMP de Paris (présumé innocent aux termes de la loi, du GMP de Paris Grande Arche qui est assigné en correctionnelle pour le 5 décembre prochain, naturellement tous « exemplaires » !) de tous sera rappelée lors des réunions du Collège des Vénérables Maîtres qui doivent être des véritables « rencontres ». Ces réunions vous permettront, de prendre la mesure des attentes des Frères avec qui les Vénérables Maîtres ont des contacts journaliers, de répondre à leurs questions et de transmettre directement vos messages auxquels ils adhéreront par votre force de conviction.
Parmi ces messages, on pourra rappeler, par exemple, la nécessité de rester deux ans, trois en cas de nécessité, au plateau de Vénérable Maitre ainsi que l’invitation aux Frères à s’acquitter de leurs capitations
Ces rencontres ne rendent, en aucun cas, inutile la présence des Officiers Provinciaux dans les Loges. Ceux-ci veilleront au bon travail et apporteront leurs compétences et leur concours aux Vénérables Maîtres qui sont leurs seuls interlocuteurs dans la Loge
Le collège des Vénérables Maîtres pourra désigner des Vénérables qui participeront aux Conseils Provinciaux ou Comités Exécutifs, s’il y a lieu, afin d’assurer transparence et cohésion
L’échelon des Vénérables Maîtres est très important, il est primordial que les Grands Maîtres Provinciaux les rencontrent régulièrement en personne. Ces rencontres restent irremplaçables, quel que soit la qualité des Officiers Provinciaux et sachant que le nombre de Loges rend très difficile dans beaucoup de Provinces la visite du Grand Maître Provincial en personne.
L’institutionnalisation de ce Collège des Vénérables est de nature à restaurer la confiance et assurer la transparence à tous les niveaux de l’Obédience.
Veuillez croire, Très Chers et Bien Aimés Frères, en mes salutations très fraternelles.
TRGM François STIFANI
L’exigence de rigueur et d’exemplarité (après ce qui précède, je vous laisse seuls juges, en rappelant toutefois la mise en examen du GMP de Paris (présumé innocent aux termes de la loi, du GMP de Paris Grande Arche qui est assigné en correctionnelle pour le 5 décembre prochain, naturellement tous « exemplaires » !) de tous sera rappelée lors des réunions du Collège des Vénérables Maîtres qui doivent être des véritables « rencontres ». Ces réunions vous permettront, de prendre la mesure des attentes des Frères avec qui les Vénérables Maîtres ont des contacts journaliers, de répondre à leurs questions et de transmettre directement vos messages auxquels ils adhéreront par votre force de conviction.
Parmi ces messages, on pourra rappeler, par exemple, la nécessité de rester deux ans, trois en cas de nécessité, au plateau de Vénérable Maitre ainsi que l’invitation aux Frères à s’acquitter de leurs capitations
Ces rencontres ne rendent, en aucun cas, inutile la présence des Officiers Provinciaux dans les Loges. Ceux-ci veilleront au bon travail et apporteront leurs compétences et leur concours aux Vénérables Maîtres qui sont leurs seuls interlocuteurs dans la Loge
Le collège des Vénérables Maîtres pourra désigner des Vénérables qui participeront aux Conseils Provinciaux ou Comités Exécutifs, s’il y a lieu, afin d’assurer transparence et cohésion
L’échelon des Vénérables Maîtres est très important, il est primordial que les Grands Maîtres Provinciaux les rencontrent régulièrement en personne. Ces rencontres restent irremplaçables, quel que soit la qualité des Officiers Provinciaux et sachant que le nombre de Loges rend très difficile dans beaucoup de Provinces la visite du Grand Maître Provincial en personne.
L’institutionnalisation de ce Collège des Vénérables est de nature à restaurer la confiance et assurer la transparence à tous les niveaux de l’Obédience.
Veuillez croire, Très Chers et Bien Aimés Frères, en mes salutations très fraternelles.
TRGM François STIFANI